Alors que les personnalités américaines du monde du sport et du divertissement investissent à tout va dans le football européen, on s’est demandé ce que cela donnerait si le rap francophone faisait de même avec nos clubs bien Ligue 1 bien Ligue 2.
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Le Havre : Médine
Quelles sont les deux choses les plus connues au Havre ? Le club de foot, le HAC, et le rappeur Médine. Logique que les deux s’allient.
LOSC : Gradur
Après avoir faussement signé au LOSC dans un happening sympa à l’été 2016, cette fois, c’est la bonne. Gradur rejoint les Dogues, pas comme joueur, mais comme propriétaire du club. La légende dit que les joueurs devront réaliser 100 pompes et autant de tractions à chaque entraînement.
OL : Chilla
“Les félins sont dans le zoo”, le slogan est tout trouvé par Chilla qui devient la nouvelle propriétaire de l’OL. Un destin tout tracé qui nous offre une magnifique occasion de vous redire de croire en vos rêves, car, sans eux, vous n’êtes qu’un tigre sans griffes, un lion sans crinière, un guépard à 50 km/h… Bref, on s’est compris, pas vrai Chilla ?
OM : Bande organisée
Qui de Jul, SCH, Soso Maness ou un autre rappeur marseillais reprendra l’OM ? La réponse est évidente : TOUS. Après l’ère Frank McCourt, place à l’ère Bande organisée.
AS Monaco : Shay
Avec son image bling-bling, le club de la principauté détonne dans le paysage du foot français, un peu comme sa future propriétaire, la rappeuse Shay dans le rap francophone. Un mariage logique et de raison.
Montpellier : Ateyaba
OK, Ateyaba a placé Montpellier sur la carte du rap, mais là, c’est autre chose. Le rappeur décide de mettre fin à sa carrière musicale parce que flemme, et réinvestit tout dans le club de sa ville qu’il a d’ailleurs décidé de renommer MTP American Football. On vous l’avait dit, il est matrixé par les USA.
FC Nantes : Coelho
L’étoile montante du rap nantais comme nouvel actionnaire principal des Canaris, on l’aurait pas vu venir dès maintenant mais, comme dit Omar da Fonseca (à lire avec l’accent), “Le Football, c’est de la passion, aucune règle, aucune limite !”
PSG : Ninho
Le boss du rap français actuel à la tête du plus gros club français du moment. Comme une évidence. Mais on espère que Ninho sera plus fort comme propriétaire du PSG que lorsqu’il s’agit de lâcher des punchlines sur le foot (ou n’importe quel autre sport).
Stade de Reims : Leys
Fière représentante du Stade de Reims, la rappeuse Leys va tenter de faire briller son club en lui faisant atteindre la finale d’une grande compétition, comme elle lors de saison 1 de Nouvelle École. Première étape pour la nouvelle proprio : créer l’hymne du club Rémois.
Stade Rennais : Lujipeka
Les aventures collectives manquaient à Lujipeka depuis l’arrêt du groupe Columbine avec Foda C. C’est donc vers le Stade Rennais, son club de cœur, que le rappeur s’est tourné, mais alors, vraie histoire d’amour ou simple relation-pansement vouée à l’échec ?
RC Strasbourg : Larry
Larry est né à Strasbourg et ne compte pas quitter la ville de sitôt. Avec ses parents, qui gèrent déjà sa carrière musicale, le rappeur se lance le défi de devenir propriétaire du RC Strasbourg. Continuer d’alimenter cette ferveur qui fait du public strasbourgeois l’un des plus beaux publics de France, c’est l’objectif final pour Larry.
Toulouse FC : Big Flo & Oli
Deux frères à la tête d’un même club, c’est du jamais vu ! Après avoir magnifiquement désigné un précédent maillot du TFC, organisé le Rose Festival dans leur ville, les Toulousains Bigflo & Oli passe la seconde et rachète le club. En vrai, c’est juste la suite logique des choses pour les deux artistes qui annoncent déjà un album commun avec la réserve. Ils en ratent pas une…
Girondins de Bordeaux : Sams
Sams est l’exemple parfait de comment gérer l’après-football. Que ce soit dans le rap ou la comédie, le Bordelais a su se faire une belle place. Une expérience dont ont cruellement besoin les Girondins pour se relancer.
AS Saint-Étienne : Naza
Naza à l’AS Saint-Étienne, le lien n’est pas évident de prime abord, mais, à y regarder de plus près, c’est le match parfait. Le public passionné des Verts mérite un propriétaire passionnant, solaire et qui connaît les clés du succès.
AS Nancy Lorraine : Kikesa
Le dicton du club : Qui s’y frotte s’y pique. Alors oui, depuis quelque temps c’est l’ASNL qui se fait piquer (son argent) mais l’arrivée à sa tête de Kik, anciennement Kikesa, le proprio-un-peu-cool-mais-qui-sait-serrer-les-boulons-quand-il-faut, le club nancéien peut largement espérer remonter la pente en musique et avec un peu, voire beaucoup, d’argent de côté.
FC Sochaux : Dinor
On ne retiendra pas le passage de Dinor au FC Sochaux. Mais la vie est généreuse et a décidé de lui donner une seconde chance, cette fois comme actionnaire principal d’un club à la dérive. Le pitch parfait d’une success story à la française.
SM Caen : Orelsan
Si Orelsan se présentait aux élections municipales, il serait élu maire de la ville. Si Caen décidait de revendiquer son indépendance, Orelsan en serait le premier président. Donc si le Stade Malherbe cherche un nouveau propriétaire… vous avez la suite.
Red Star : Guy2Bezbar
Saint-Ouen ce n’est pas le XVIIIe arrondissement, mais le club le plus hipster de France mérite le rappeur le plus stylé du moment à sa tête, Guy2Bezbar a.k.a. le Coco Jojo Depitcho R9.
US Marly : Heuss l’Enfoiré
Pour Heuss l’Enfoiré, on ne s’est pas creusé la tête bien longtemps. Il est déjà propriétaire d’un club situé dans les Hauts-de-France, l’USM Marly depuis 2 ans maintenant, et mène une belle p’tite vie de propriétaire, pas très loin de son pote Gradur.
GF38 : Mister V
Oui, Grenoble pensait à lui depuis des années. Seul Mister V peut aider le GF38 à remonter en Ligue 1 après une grosse chute dans les années 2010. Il est Youtubeur, rappeur, streamer, pizzaïolo, alors pourquoi pas propriétaire du club de sa ville ? Non franchement, la question est vraiment sérieuse.
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