Je n’aime pas trop les puristes qui veulent tout le temps prouver, ceux qui jurent qu’ils écoutaient cet artiste avant tout le monde, qu’ils connaissaient cette marque avant tout le monde, qui mangeaient dans ce resto avant la hype, qui portaient des Gazelle quand elles couraient encore dans la savane… Genre, s’il vous plaît, laissez-nous respirer.
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Par contre, quand il s’agit de Jacob Elordi, il se peut que je sorte ma petite casquette d’avant-gardiste rose flashy et que je la cale sur ma perruque blonde, parce que j’étais là depuis le début. Vous ne savez pas, vous, le courage qu’il faut pour défendre une gueule d’ange, presque trop grand et sexy pour rien, qui joue dans des comédies romantiques clichées devant ses collègues cinéphiles. J’ai défendu Jacob Elordi, corps et âme, depuis The Kissing Booth. J’ai bien fait, la vie m’a donné raison.
Il enchaîne les projets à succès, les relations mignonnes et sans drama, les looks effortlessly cool et les sacs à main de luxe qu’il accorde parfaitement à ses tenues tel un top model off duty dans les rues de Milan entre deux défilés.
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Pour reprendre l’expression des jeunes qui ne sont pas encore stressées par les emprunts bancaires : Jacob Elordi est l’homme sexy qu’il pense être. Alors bien sûr que j’ai crié quand j’ai vu qu’il a officiellement été nommé ambassadeur Bottega Veneta. Parce que si ce n’est pas lui, c’est qui ? Ce n’est pas comme si on n’avait pas vu ce qu’il valait dans un petit costume bien coupé Bottega.
En tout cas, félicitations, mon lapin. You are doing amazing, sweetie.
