En partenariat avec l’association américaine National Down Syndrome Society (NDSS), la firme de jouets pour enfants Mattel a dévoilé sa toute première Barbie porteuse de trisomie 21. C’est avec l’aide de professionnels de la santé que la marque a défini le processus de conception des poupées, en présentant un nouveau visage et une nouvelle silhouette pour mieux représenter les femmes atteintes du syndrome de Down, avec notamment un corps plus court et un torse plus long.
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© Mattel
La poupée porte également un collier rose avec trois chevrons vers le haut, qui représentent les trois variations du 21e chromosome, l’élément génétique à l’origine des caractéristiques associées au syndrome de Down. En accessoires, on retrouve également des orthèses de chevilles roses assorties à sa tenue, en référence à celles portées par certains enfants atteints du syndrome de Down pour soutenir leurs pieds et leurs chevilles.
Afin de marquer le lancement de cette poupée et promouvoir l’inclusion, des ambassadrices européennes se sont jointes à Barbie pour célébrer ce moment important pour cette communauté. Parmi elles, Éléonore Laloux, conseillère municipale déléguée à la transition inclusive et au bonheur à Arras (Pas-de-Calais), mais aussi autrice. L’ambassadrice française partage :
“C’est une grande première pour moi d’être l’ambassadrice de Barbie et de leur première poupée trisomique. C’est formidable que cette Barbie ait trouvé sa place dans la gamme, tout comme j’ai trouvé ma place dans la société. Je veux partager mon expérience et montrer au monde que l’on peut vivre heureux avec une Trisomie 21. Le plus important est que les parents voient cette poupée et gardent espoir”
La nouvelle poupée intègre la gamme Barbie Fashionistas de Mattel, disponible en ligne en quantités limitées dès maintenant et en magasin dès cet été. La collection de poupées Barbie est aujourd’hui la plus diversifiée et inclusive du marché, “offrant une variété de tons de peau, de couleurs et textures de cheveux, de types de corps, de conditions physiques et de styles, afin d’inspirer encore plus d’histoires différentes.”
