Oh la grosse intoxication alimentaire dans l’émission MasterChef Espagne

Passion fruits de mer

Oh la grosse intoxication alimentaire dans l’émission MasterChef Espagne

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Capture d’écran Youtube MasterChef Espana

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Par Benjamin Mangot

Publié le , modifié le

Caca en espagnol, on vous le donne dans le mille, ça se dit caca.

Haut-le-cœur à l’aquarium. Lors de l’épisode 4 de MasterChef Espagne, les candidats ont cuisiné dans l’enceinte de l’Oceanogràfic de Valence, qui est l’un des plus grands aquariums d’Europe, pour une épreuve qui consistait à préparer des plats pour les 120 personnes qui y travaillent, à l’occasion du 20e anniversaire du lieu. Cependant, tout ne s’est pas passé comme prévu et une des serveuses ayant participé à l’émission a dévoilé, dans une série de tweets, désormais rendus privés, que “plus de 70 personnes ont fini par souffrir d’une intoxication alimentaire” suite à ce repas.

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Le média espagnol El País a confirmé, dans la foulée, cette information en contactant le ministère régional de la Santé, qui a estimé le nombre d’intoxications à 44 après une enquête des autorités sanitaires. El País précise aussi que “le menu, élaboré par la cheffe Rakel Cernicharo, rendait hommage au monde marin” et était “principalement composé de fruits de mer et fusionnait la cuisine indienne et méditerranéenne” (bon appétit bien sûr).

Dans la foulée de ces révélations, Shine Iberia, la société productrice de l’émission, a réagi dans un communiqué, soulignant le caractère exceptionnel et malheureux de cet événement : “Chez MasterChef, nous regrettons beaucoup l’indisposition de certains des convives qui ont participé au tournage à Valence. Il s’agit d’un cas absolument exceptionnel au cours de ces 11 années de MasterChef en Espagne, un programme où il est absolument prioritaire de garantir l’attention nutritionnelle des personnes impliquées”.

La production en a aussi profité pour se défendre sur le respect des règles sanitaires en vigueur dans l’émission, affirmant que “la traçabilité a été garantie tout au long du processus, comme cela a été rapporté et documenté aux autorités sanitaires compétentes”.