On a la volaille qu’il vous faut pour vos tables de fêtes

On a la volaille qu’il vous faut pour vos tables de fêtes

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© Maki Manoukian / Rôtisserie Segar

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Par Pharrell Arot

Publié le

Rue Mouffetard, une rôtisserie joue de sa plus belle flamme.

Le poulet rôti, à la rôtissoire, est possiblement le symbole le plus universel de la gastronomie française. Et surtout, il fait partie de ces plats qui sont, toujours, meilleurs achetés déjà cuits chez un professionnel, un théorème du poulet rôti d’ailleurs très bien résumé par le créateur de vidéos Alex alias French Guy Cooking dans l’une de ses récentes publications. Alors, pour les fêtes, quitte à ne pas cuisiner l’oiseau des fêtes chez soi, pourquoi pas se faire plaisir avec une volaille d’exception, plus précisément un chapon contisé à la truffe à la cuisson imbattable ?

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Se réconcilier avec le commerce de bouche

Dès qu’on entre chez Segar, dans l’ambiance de fin de journée d’une rue Mouffetard toujours pleine d’entrain – oui, oui, vraiment, ça vaut le coup d’aller jusque dans le 5e arrondissement –, le duo qui tient la maison nous redonne foi dans le commerce de bouche. Si si, vous savez, on a tous, il faut l’avouer, un peu la frousse du commerçant qui vous coupe un morceau de fromage à 40 euros parce que vous n’avez pas le compas dans l’œil. Ici, on sent qu’Elena Araoz et Victor Seguineau sont passionnés, qu’ils ont le bon mot, le bon conseil, et surtout, le bon produit.

Si on est là pour un oiseau d’exception, à l’année, leur poulet a déjà fait chavirer plus d’un amateur. Ici, on retrouve des poulets landais élevés en plein air 105 jours, nourris au maïs cultivé à même l’exploitation en agriculture raisonnée. 19,90 euros le kilo, ou même à juste choper en sandwich ultra-satisfaisant. Mais revenons à notre chapon.

Contisé à la truffe

Il est là, brillant, doré, encore fumant sur sa broche. On devine sous sa peau les inserts de truffe. “Tu le réchauffes doucement hein, les filets vers le bas pour que les sucs de cuisson réhydratent le blanc.” Nous voilà repartis, notre chapon encore bouillant accompagné d’un pot de jus de cuisson et de quelques accompagnements maison sous le bras. Mention spéciale pour les choux de Bruxelles bien caramélisés (ne vous inquiétez pas si vous perdez pied à la vue de légumes verts, de superbes patates sautées au thym sont aussi au programme).

© Konbini

Le précieux colis ramené à la maison, c’est Noël avant l’heure. Une fois réchauffé en suivant les conseils précieux d’Elena et Victor, on s’attable autour de cet oiseau de fête, doré, parfumé, à arroser de son jus riche et subtil. On ne fait pas beaucoup mieux que ça, sincèrement, en plus sans avoir eu à mettre la main à la pâte.

Lendemain de fête

© Konbini

Cette volaille d’exception, c’est aussi le bonheur des lendemains. Forcément, on se bricole un sandwich le midi avec le reste des chairs, et le soir, des coquillettes au jus de cuisson, imbattable tout simplement.

Si vous en êtes au moment des choix pour vos dîners de fêtes, on ne saura que vous conseiller de vous diriger à la rôtisserie Segar, soit pour commander un chapon d’exception (à partir de 25,90 euros le kilo, 62,50 euros le kilo pour la version à la truffe), soit même “seulement” pour quelques beaux poulets, parce que ce sera délicieux, royal, et que vous n’aurez à vous occuper de rien. Et le lendemain, seul dans votre cuisine, vous pourrez continuer avec un petit kif égoïste, en pensant seulement à aller vous acheter une baguette bien fraîche.

PS : prenez aussi des rillettes de poulet à l’estragon, c’est un des meilleurs trucs qu’on ait mangés cette année.

Rôtisserie Segar
111 rue Mouffetard, Paris 5

Article rédigé dans le cadre d’une mise à disposition de produit par la rôtisserie Segar et l’agence Woki Toki.