On a vu la précollection FW24 de chez Courrèges et voici toutes les pièces qu’on a eu (très) envie de chourer

On a vu la précollection FW24 de chez Courrèges et voici toutes les pièces qu’on a eu (très) envie de chourer

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Ballerines de chez Courrèges (Konbini)

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Par Mélissa Chevreuil

Publié le

On n’a évidemment rien piqué, hein. Mais les jupes, cagoule et ballerines pour hommes (eh ouais) nous ont vraiment fait de l’œil.

Pour celles et ceux qui l’ignorent encore, en période de Fashion Week, il existe plusieurs types d’événements pour dévoiler les nouvelles collections et nous donner de furieuses envies d’achats compulsifs, le plus connu étant évidemment le défilé. Mais il existe aussi un autre moyen pour une maison de partager ses futurs bangers à la presse, aux influenceurs, ambassadeurs et clients préférés : la présentation en showroom. C’est cette option qu’a choisie Courrèges et l’autrice de ces lignes a ainsi pu voir en avant-première de nombreuses pièces des collections homme, femme et mixte pensées par Nicolas Di Felice.

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Au menu, des jeux de formes aux sous-entendus libidineux, des influences jap ou coréennes ici et là et une invitation à la superposition. Ne vous méprenez pas, de ce type d’événement, je ne suis repartie avec absolument rien, si ce n’est un échantillon de parfum glané suite à une conversation avec l’équipe sur place (#rat). Mais l’envie de faire une razzia ne m’a pas manquée et voici les items qui m’ont le plus mis la bave au bec.

Une jupe avec une poche centrale pour savoir quoi faire de mes mains

Jupe avec poche centrale signée Courrèges (Courrèges Lookbook)

J’adore les jupes en été puisque en bonne Parisienne frileuse, c’est littéralement la seule l’occasion de dévoiler mes gambettes tatouées. Seulement voilà, je n’ai jamais su quoi faire de mes mains, encore moins quand je suis statique. Sans les poches d’un pantalon, je me sens nue. Cette jupe est le remède à mon mal-être communicatif et me donnera l’assurance et la nonchalance d’une mannequin après after. Elle semble même un peu profonde et capable de contenir un véritable objet. Ou quand l’utile rejoint l’agréable.

À noter que de nombreux vêtements (pantalons, robes) de la collection proposent cette poche centrale. Votre œil devrait donc très facilement s’y habituer.

Un jean avec des poches recto/verso pour savoir quoi faire de mes mains (bis)

Jean Courrèges (Konbini)

Il m’a tapé dans l’œil pour exactement les mêmes raisons que pour la jupe. Avec ce genre de pantalon, plus de souci à me faire, je n’aurais pas à croiser mes bras derrière le dos comme les meilleurs représentants du troisième âge devant les vitrines d’agences immobilières. Et aussi parce que Mylène Farmer elle-même nous le répétait : “Le nec plus ultra en ce paysage, c’est d’aimer les deux côtés”.

Une cagoule pour protéger sa peau du froid

Une cagoule signée Courrèges (Konbini)

Oui, on sait, la cagoule, c’était déjà la grande tendance de l’année dernière. Et ? Notre teint glowy n’est pas qu’une affaire de génétique, mais bien le résultat d’un travail de longue haleine avec de nombreuses expérimentations skincare. Avec cet accessoire, on gardera l’effet brillant (mais pas suant) encore plus longtemps et ce même quand les températures seront aussi négatives que notre compte bancaire.

Un sac violet, car je n’en ai tout simplement pas

La nouvelle couleur violette de chez Courrèges (Konbini)

On me murmure dans l’oreillette que c’est une nouvelle couleur disponible chez Courrèges. Ça tombe bien, j’adore le violet et ne possède pas encore dans ce sac dans ces tons-là. N’est-ce pas là une raison suffisante ?

Des ballerines pour hommes parce que… (on cherche encore)

Des ballerines pour hommes de chez Courrèges (Konbini)

Cette année, deux paires creusent leur sillon dans nos dressings. Les Timberland, qui font leur grand retour, notamment chez Louis Vuitton, et les ballerines pour hommes. Oui, vous avez bien lu. On les a vues chez Dior et on en a également capté au showroom Courrèges. Est-ce qu’on aime ? Ahem. Disons que comme il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, on pourrait adorer ça dans six mois, un an ou une décennie (oui, plutôt une décennie). Donc juste au cas où, on prendra une paire qu’on laissera de côté…