Pas d’inquiétude, la Garde républicaine est “aux anges” d’avoir dansé avec Aya Nakamura

Pas d’inquiétude, la Garde républicaine est “aux anges” d’avoir dansé avec Aya Nakamura

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France TV

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Par Konbini

Publié le , modifié le

"C’était incroyable pour nous, croyez-le", a déclaré le chef de la musique de la Garde républicaine.

Pendant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, Marion Maréchal a tweeté être en train de regarder l’événement avec ses enfants et sa difficulté à “apprécier les rares tableaux réussis entre les Marie-Antoinette décapitées, le trouple qui s’embrasse, des drag queens, l’humiliation de la Garde républicaine obligée de danser sur du Aya Nakamura, la laideur générale des costumes et des chorégraphies”. Que la tête de liste de Reconquête ne s’inquiète pas, la Garde républicaine semble très heureuse d’avoir performé aux côtés de la Reine de France.

Retrouvé par Le Parisien, le Capitaine Frédéric Foulquier, chef de la musique de la Garde républicaine a décrit le moment comme “très fort, très intense”, “unique”, un “privilège”. Bien au courant des “polémiques” relatives à l’hypothèse de la présence d’Aya Nakamura lors de la cérémonie, le capitaine a vu ce featuring comme un “challenge encore plus excitant de faire taire un peu les mauvaises langues et démontrer qu’on peut se retrouver sur l’essentiel autour d’un art, qu’est la musique” : “C’était important pour une institution telle que la Garde républicaine et la gendarmerie nationale à laquelle elle appartient, de montrer qu’elle évolue avec son époque, qu’elle est dans son époque.”

Sur RMC Sport, le gradé a appuyé ses dires : “C’était incroyable pour nous, croyez-le”. Il a décrit l’événement comme “une rencontre entre deux mondes a priori improbable [qui] s’est très bien passée, très sympa dans une ambiance cordiale et joyeuse, presque de communion musicale et culturelle”.

[J’ai ressenti] beaucoup d’émotion, elle a reçu pas mal de pression qui pesait sur elle. On a immédiatement perçu que le show était réussi. Tout le monde était aux anges, ravi en tout cas.”

C’est bon, Marion Maréchal, rassurée ?