Pour être fort au football américain, faites comme Patrick Mahomes, ne changez pas de slibard

Pour être fort au football américain, faites comme Patrick Mahomes, ne changez pas de slibard

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© Mike Ehrmann/Getty Images)

On peut être le meilleur joueur du monde et jouer avec un caleçon sale.

Et si la clé de la réussite dans le sport de haut niveau n’était qu’une affaire de sous-vêtements ? C’est connu, certains sportifs aiment porter le même sous-vêtement en compétition pour se porter chance. Et Patrick Mahomes, le génial quarterback des Chiefs de Kansas City, fait partie de cette caste d’athlètes avec un calbar fétiche. Ce lundi, dans le podcast des frères Eli et Peyton Manning, le double vainqueur du Super Bowl a révélé qu’il portait le même caleçon à chaque match.

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L’information avait déjà été balancée par son ex-coéquipier Chad Henne à ESPN en février dernier, mais cette fois, l’intéressé lui-même a confirmé cette superstition, qui ne le quitte pas depuis ses débuts en NFL en 2017. Mais en quoi consiste-t-elle exactement ? À chaque match, Mahomes porte le même caleçon rouge, que sa femme Brittany lui a offert. “Mais il n’est pas trop usé”, a rassuré le quarterback. “Ce n’est pas un caleçon dégueu, je le nettoie.” Peut-être pas assez souvent, diront certains.

Car le numéro 15 des Chiefs de Kansas City a expliqué par la suite qu’en cas d’enchaînement de victoires de son équipe, son sous-vêtement fétiche ne voit pas l’intérieur d’une machine à laver. “Si on est sur une série victorieuse, je ne le lave pas. Je continue de le porter, comme ça, aussi longtemps qu’on remporte des matchs, je laisse la superstition durer”, a-t-il lâché.

En suivant les explications du joueur et en regardant le calendrier des champions en titre cette saison, on en déduit que Patrick Mahomes a, entre le 17 septembre (victoire contre les Jaguars de Jacksonville) et le 29 octobre (défaite contre les Broncos de Denver et fin d’une série de six victoires), porté son caleçon porte-bonheur à sept reprises sans le laver une seule fois. On n’ose même pas imaginer l’état du sous-vêtement à la fin.