Tomb Raider, Assassin’s Creed, Need for Speed… Sur Prime Video, du ciné tout droit sorti de tes jeux vidéos pref’

Action !

Tomb Raider, Assassin’s Creed, Need for Speed… Sur Prime Video, du ciné tout droit sorti de tes jeux vidéos pref’

De la console au grand écran, il n'y a qu'un pas qu'on est (très) content de franchir.

N’en déplaise à ses détracteurs, le jeu vidéo est un art à part entière. La preuve : le cinéma – autre medium de création réputé plus noble, moins “frivole”, que le gaming – s’est largement inspiré d’univers vidéoludiques pour accoucher de grosses sorties récentes. Que soit à travers l’exploitation du “lore”, la réinterprétation de codes esthétiques spécifiques, l’apparition en live action de protagonistes cultes… ou un peu de tout ça à la fois.

Direction Prime Video, pour un tour d’horizon de ce “grand portage”, depuis la console vers le “7e art”. Florilège.

1. Ça fonce à toute berzingue chez Need for Speed

Pied au plancher, Tobey Marshall (Aaron Paul) fait crisser ses pneus. Après s’être retrouvé en taule pour de fausses accusations, ce garagiste pas comme les autres entend venger la mémoire de son pote assassiné en… gagnant une course illégale de bagnoles. Eh oui, n’oublions pas qu’on navigue dans les eaux de Need for Speed. Soit l’une des sagas sportives phare d’Electronic Arts, qui propose, grosso modo, des compet’ particulièrement nerveuses en milieu urbain. Des éléments de gameplay repris à grand renfort d’effets spéciaux dans ce film sorti en 2014. Pour le plus grand plaisir des fans, bien sûr.

2. Assassin’s Creed : la discrétion est-elle encore de mise ?

*Cri d’aigle*. Neuf ans après la sortie d’un premier opus qui avait fait l’effet d’un raz-de-marée dans l’univers gaming, la franchise Assassin’s Creed fait l’objet d’une adaptation ciné courant 2016 avec, en tête d’affiche, Michael Fassbender. L’acteur germano-irlandais y campe le lointain, lointain, descendant d’un membre de la société secrète des “assassins”, dont il sera contraint de visiter les souvenirs. Dans quel contexte, précisément ? L’Espagne du XIe siècle. Celle de l’Inquisition, et de la guerre entre Isabelle la Catholique et les forces musulmanes d’Andalousie pour s’emparer dela  ville de Grenade. Voilà l’atmosphère un tantinet explosive dans laquelle Callum Lynch (Michael Fassbender, donc) sera plongé. Course poursuite en chariot, mission sauvetage, parkour débridé – et “saut de la foi”, bien sûr… Callum n’en demandait pas tant, clairement. Mais nous, on salue.

3. LA BAGAAAAAARRE, version Street Fighter

Vous vous êtes toujours demandé comme Ken et Ryu, les personnages iconiques de la saga de castagne, s’étaient formés ? Ça tombe bien, Street Fighter : Assassin’s fist explore cette dimension méconnue de leur background. On y voit les deux apprentis s’initier à l’Ansatsuken, ce style de combat antique qui fera trembler à peu près tous les “combattants” jouables, dans Street Fighter. Donc voilà. Sans grande surprise, le film reste hyper fidèle aux jeux dont il s’inspire, en cela qu’il est essentiellement composé de… bastons. Est-ce-qu’on en attend plus ? Non. Est-ce-que ça nous va ? Évidemment.

4. T’as la frousse à cause de Resident Evil, l’île de la mort ou quoi ?

Bon, en vrai, y’aurait rien de honteux à ça. Sortie en 2023, la dernière adaptation de la franchise horrifico-gore de Capcom, a de qui tenir. Basé sur la trame scénaristique des jeux vidéos, le film nous entraîne aux côtés de ce cher agent Leon S. Kennedy (notre perso pref’ de la saga <3). Quels sordides malheurs vont encore lui tomber dessus ce coup-ci, demandez vous ? Assez classiquement, il est question de mission sauvetage, de plan machiavélique et d’épidémie de zombie. Point fort : la technique d’animation, proche de celle utilisée pour les cut scenes des jeux. Immersion garantie.

5. Leave Lara Croft alone !

Mais oui bon sang, laissez-la tranquille. Après Angelina Jolie, c’est au tour d’Alicia Vikander d’endosser le rôle de la plus badass des aventurières (pardon Nathan Drake) avec Tomb Raider. Celle qui n’est pas encore une “pilleuse de tombe ” aguerrie mène une petite vie de coursière à vélo plutôt pépouze quand – patatras ! – elle apprend par un héritage de son père décédé (lui, explorateur de renom…) qu’il faut absolument empêcher une mystérieuse organisation de mettre la main sur le sarcophage d’une ancienne reine japonaise. Okay. L’expédition tourne au drame – évidemment. Alors Lara doit apprendre à survivre en milieu hyper, ultra hostile. Y’a des ennemis qui veulent sa peau, puis ses proches qui la trahissent. Quelle vie. On ne le répètera jamais assez : LEAVE LARA ALONE !