“N’oubliez pas de remercier une personne hétéro ce mois-ci pour votre existence.” C’est avec cette légende tout en finesse (non) que Jeremy Bieber a accompagné un post sur Twitter. Plus précisément, un mème homophobe avec un drapeau arc-en-ciel. Pour mémoire, ce mois de juin est celui des fiertés et il célèbre à travers le globe les droits des personnes de la communauté LGBTQIA+. Il aurait commencé lors des émeutes de Stonewall, à New York, en 1969.
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Si son fils Justin Bieber n’a pas commenté ce “trait d’humour”, les internautes n’ont pas manqué de lui tomber dessus. Deux jours plus tard, et comme par enchantement, la “blague” a été retirée par le père Bieber, qui n’en démord pourtant pas. Même s’il s’est dit désolé pour les personnes qui ont pu être offensées, il demeure à l’aise avec sa position et précise que tout le monde a “besoin de célébrer les familles”, avant de compléter : “Vous savez pourquoi nous sommes tous ici ! Les choses que cette génération glorifie sont inconcevables !”
Celles et ceux qui suivent Jeremy Bieber (oui, ils existent et sont même plus de 2 millions) ne seront peut-être pas si… étonné·e·s. L’homme de 48 ans poste assez régulièrement des photos ou commentaires très lunaires, voire problématiques. Il y a quelques années, des paparazzis avaient shooté Justin dans le plus simple appareil, faisant fuiter les photos sans vergogne. Si l’intéressé avait mal vécu cette période, son paternel, lui, n’était pas peu satisfait par la taille supposée flatteuse du zob de son rejeton, quitte à tweeter “Mais avec quoi alimentes-tu cette chose ? #papafier”. Gênant et déplacé, certes, car on parle tout de même de photos volées dans l’intimité la plus complète. De plus, Jeremy Bieber aurait abandonné le chanteur alors qu’il n’était qu’un enfant (il a été élevé par sa mère)… Un come-back opportuniste qui manque clairement d’élégance, si vous voulez l’avis de l’autrice de ces lignes.
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