Kim Ye-ji, la tireuse sud-coréenne très stylée des JO, a eu le droit à son premier photoshoot mode (très stylé lui aussi)

Kim Ye-ji, la tireuse sud-coréenne très stylée des JO, a eu le droit à son premier photoshoot mode (très stylé lui aussi)

Image :

© Charles McQuillan/Getty Images via AFP

photo de profil

Par Donnia Ghezlane-Lala

Publié le

Depuis les JO, le monde ne se remet pas du style de Kim Ye-ji, et encore plus depuis ce photoshoot pour le magazine W Korea.

Le magazine de mode W Korea a fait appel à la tireuse coréenne Kim Ye-ji, qui a marqué au fer rouge nos cœurs lors des Jeux olympiques de Paris en août dernier. Révélé le 30 août par le magazine coréen sur Instagram, soit deux semaines après sa médaille d’argent, la séance photo présente Kim Ye-ji en Louis Vuitton devant l’appareil photo de Lee Yonghee. Dans un article qui lui est consacré, la médaillée olympique revient sur son récent succès et s’étonne que celui-ci perdure.

À voir aussi sur Konbini

“Pourquoi moi ?”, s’est-elle demandé quand W Korea lui a proposé un édito photo mode. “Il y a d’autres médaillées, et or en plus, donc pourquoi m’avoir contactée moi ? Pourquoi Elon Musk m’a mentionnée ? Je me demande encore. Je suis la même personne que quand j’ai commencé à tirer au collège.” Le propriétaire d’X/Twitter a en effet dit qu’elle “devrait jouer dans un film d’action” et qu’elle n’avait même pas besoin d’entraîner son jeu d’actrice.

Pourquoi elle ? La sportive a fait sensation aux JO, en remportant le record du monde du tir à 10 mètres, aux côtés de sa colocataire et compatriote Oh Ye-jin, qui a raflé la médaille d’or et qui a également battu le record du monde. Si elle a tant marqué les esprits, c’est pour son flegme intraitable, sa concentration héroïque, sa gestuelle redoutable et aussi son style : elle portait à sa ceinture le doudou de sa fille lors des épreuves.

Courtisée pour apparaître dans des émissions et pour devenir l’égérie de multiples marques, Kim Ye-ji a finalement accepté la proposition de W Korea pour promouvoir son art. “Je pense que les gens reconnaîtront plus le tir comme un sport si je me montre plus dans les médias”, confie celle qui vient de se trouver un·e agent·e. “Je veux continuer à être ‘Kim qui tire bien’ aux yeux des gens.”