On a passé le week-end à regarder le Tiny Desk de Sean Paul (et on vous invite à faire de même)

Ah ! Nostalgie, quand tu nous tiens… Ce vendredi, on a eu l’heureuse surprise de découvrir sur YouTube le Tiny Desk de Sean Paul, un des artistes les plus présents dans la bande originale de notre adolescence (pour quelqu’un né en 1990, comme moi). Pendant 20 minutes, le chanteur de reggae-dancehall jamaïcain alterne entre ses tubes les plus connus (“Gimme the Light”, “Get Busy”, “I’m Still in Love With You”, “Like Glue” et “Temperature”) et ses classiques plus niches (“Infiltrate” et “Deport Them”) dans une interprétation live et organique, qui vaut sans problème les riddims originaux.

Tout le week-end, on a donc écouté en boucle le concert de Sean Paul dans les bureaux de la station de radio publique américaine NPR. De quoi faire remonter les souvenirs des chaudes soirées dancehall dans les années 2000, des morceaux et compilations de riddims qu’on s’échangeait sur MSN ou chopait en peer-to-peer, et d’une époque où Sean Paul, avec ses albums Dutty Rock et The Trinity, était le visage commercial d’un genre dont les monstres sacrés se nomment Capleton, Sizzla, Beenie Man, Bounty Killer, Vybz Kartel, Mr. Vegas ou encore Elephant Man.