Oubliez les faux aliens mexicains, on a classé (objectivement) les extraterrestres du cinéma

Justice pour Yoda

Oubliez les faux aliens mexicains, on a classé (objectivement) les extraterrestres du cinéma

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© Universal Pictures

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Par Konbini

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Un classement du troisième type, t’as peur.

Vous l’avez sans doute entendu : ils sont finalement arrivés. Ou presque. Jaime Maussan, un journaliste spécialiste autoproclamé d’ufologie, a affirmé avoir trouvé des aliens. Il a ainsi présenté deux pseudo-momies d’extraterrestres à la Chambre des députés mexicaine, spécimens qui se sont (sans réelle surprise) révélés totalement bidon, résultats d’un assemblage frankensteinien de plusieurs membres humains momifiés. Pas encore d’aliens chez nous, donc, mais on a toute une liste d’aliens du cinéma pour nous faire fantasmer encore un peu. Un classement des meilleurs s’impose.

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#10. Les Monstars dans Space Jam (1996)

Les cinq petits aliens, sbires du grand méchant du film Space Jam, méritent largement leur place dans ce classement, et on ne sait pas vraiment si on les préfère dans leur petite forme toute mignonne ou dans leur évolution bien vénère et testostéronée. Une chose est certaine : trente ans plus tard, la scène de leur transformation offre toujours la même claque.

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#9. Le Yautja dans Predator (1987)

Après Alien près de dix ans plus tôt, le film Predator nous offre le second extraterrestre vraiment flippant et sanguinaire de l’histoire du cinéma. De son allure humanoïde à sa capacité d’invisibilité, le Yautja mérite son surnom de “Predator” et reste un des seuls aliens à pouvoir dire qu’il s’est fighté avec Arnold Schwarzenegger. Quand même !

#8. L’alien-“drap” Jean Jacket dans Nope (2022)

La palme du plus bel alien lui revient certainement. Surnommé “Jean Jacket”, l’alien en forme de drap s’éloigne enfin des fantasmes humanoïdes pour dévoiler un alien-vaisseau ultra-convaincant – mais qui s’est quand même fait buter par un ballon d’hélium, miskine.

#7. L’alien cafardeux dans Men in Black (1997)

Qu’on se le dise : tous les aliens de la saga Men in Black sont iconiques. Mais mêler un alien et un cafard pour en faire un grand super-méchant et le faire se combattre avec Will Smith ? On ne mérite pas tout ça.

#6. Laura (Scarlett Johansson) dans Under the Skin (2013)

Donner les traits de Scarlett Johansson à un alien mangeur d’hommes ? Meilleure idée du monde.

#5. La Chose dans The Thing (1982)

Dans la catégorie alien parasite ultra-cheum, La Chose est grande gagnante. C’est aussi le seul alien à la fois capable de tuer des chiens et de prendre une forme arachnéenne, deux choses impardonnables qui prouvent que sa cruauté est sans limite. Rien que pour ça, respect.

#4. Maître Yoda dans Star Wars (1980)

Quel autre alien peut dire “Booba m’a dédié un son” ? Aucun.

#3. Alien (ou Xénomorphe) dans Alien (1979)

Ancêtre des bonshommes du troisième type, c’est un peu lui, le GOAT de l’iconographie extraterrestre, imaginé par Ridley Scott et depuis réinterprété à l’infini. La scène du bébé alien qui débarque tranquillement en transperçant un torse nous hante encore tous les soirs.

#2. Les petits hommes verts dans Mars Attacks! (1996)

Mention spéciale à la femme martienne interprétée par Lisa Marie, qui a donné naissance au déguisement le plus classe pour Halloween. Pour les autres aliens du film, on ne sait pas si on les trouve absolument effrayants ou carrément cool, mais à chaque fois qu’on s’imagine l’arrivée des extraterrestres sur Terre, c’est cette scène délirante qui nous vient en tête – pour le meilleur et pour le pire.

#1. E.T. dans E.T., l’extraterrestre (1982)

Bon, ben, ça coule de source. Certainement le premier alien du cinéma qui nous a prouvé que ces bonshommes d’une autre planète ne voulaient peut-être pas tous la destruction totale de notre espèce. C’est aussi le seul alien capable de faire voler notre bécane pour éviter les bouchons de Paris, et ça, c’est pas rien.

Bonus : Stitch dans Lilo et Stitch (2002)

On ne pouvait pas ne pas faire un gros shout-out à Stitch, dont la scène de l’adoption reste la plus mignonne de notre enfance. Le vrai prince des aliens, c’est lui.