Rosalía, Kendrick Lamar, Makala : on vous raconte la folie Lollapalooza en images

Ce week-end se tenait à l’hippodrome ParisLongchamp l’édition française du festival Lollapalooza où performaient, entre autres, Doria, Aya Nakamura, Benjamin Epps, Central Cee, Prince Waly ou encore Bianca Costa. De vendredi à dimanche, le photographe @eastsidezem s’est faufilé entre les foules grouillantes du festival pour immortaliser les shows spectaculaires – chacun dans leur style – des Stray Kids, de Makala, Kendrick Lamar et Rosalía.

Comme nombre de personnes peu connaisseuses de K-pop qui se retrouvent face à leur premier concert du genre, le photographe a pris de plein fouet l’exaltation entourant les Stray Kids : “Ce qui m’a le plus choqué, c’est la réception du public et les chorégraphies des artistes. C’était un VRAI show.”

Mais la forte alchimie entre artistes et public n’est pas chasse gardée du groupe coréen et @eastsidezem a veillé à capter celle créée par la reine d’Espagne (voire du monde actuellement), Rosalía, avec son public “archi préparé à la recevoir”. Et pour cause, l’artiste clôturait samedi soir son Motomami Tour qui a voyagé à travers une grosse partie du monde. S’y bousculent chorégraphies, ballades et une scénographie hyper-travaillée qui ne laisse jamais le public se reposer sur ce qu’il croit voir arriver. “Grosse mention aux effets de caméras et à tous les effets de panneaux en arrière-plan”, souligne @eastsidezem.

Côté scénographie, on savait qu’on pouvait compter sur Kendrick Lamar – notamment parce qu’on l’a vu enchaîner les burpees les plus polies jamais vues dans le fitgame. Le rappeur accompagne en ce moment ses lives puissants des peintures signées Henry Taylor. À noter qu’on a également pu admirer le travail du peintre californien sur la collection hommes Printemps-Été 2024 Louis Vuitton présentée par Pharrell Williams le mois dernier.

Fin du tour de piste lollapaloozien avec Makala, “à tout jamais le meilleur performeur sur scène dans la francophonie”, estime @eastsidezem. Le photographe a capté la force du rappeur suisse et, surtout, la synergie créée avec son équipe qui prend “le temps de vraiment bien mixer les sons [pour] créer une bonbonne d’énergie sur pattes”. De quoi faire le plein de force et d’électricité – au moins jusqu’aux prochains concerts.

Vous pouvez retrouver le travail d’@eastsidezem sur Instagram.