C’est le bordel dans les transports à Paris : le grand n’importe quoi des réseaux sociaux

C’est le bordel dans les transports à Paris : le grand n’importe quoi des réseaux sociaux

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(Photo by BERTRAND GUAY / AFP)

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Par Konbini

Publié le

"Être banlieusard et aller travailler sur Paris en transport en commun, c'est une PERFORMANCE".

C’EST LA MERDE dans les transports en région parisienne en ce moment, alors les twittos sont PAS CONTENTS.

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Le bras de fer se poursuit entre la présidente d’Île-de-France Mobilités (IDFM) Valérie Pécresse et le gouvernement au sujet du financement des transports à deux jours d’une échéance décisive, la première demandant un geste au second pour éviter une hausse trop importante des tarifs.

Confrontée à une forte hausse de ses coûts liée à l’inflation et à la flambée des prix de l’énergie, l’autorité régionale des transports doit trouver 950 millions d’euros pour boucler son budget de fonctionnement 2023, lequel ne peut pas être en déficit. Elle a réuni 300 millions venus de la région Île-de-France et des départements, de la RATP et la SNCF, et compte faire 200 millions d’économies. Il lui reste donc 450 millions d’euros à trouver, qui ne peuvent être dégagés que si l’État fait un geste, selon Mme Pécresse.

Actuellement vendu à 75,20 euros par mois, le tarif du pass Navigo mensuel pourrait passer à 90 euros et celui du ticket de métro unitaire de 1,90 euro à 2,30 euros si IDFM ne trouve pas de nouvelles sources de financement.

Avec AFP (pour la fin)