En décembre dernier, la ligue professionnelle de football féminin aux États-Unis (NSWL) a noué un partenariat avec Voyager Digital, une entreprise de courtage et de prêt de cryptomonnaies. Un deal qui devait permettre aux joueuses de recevoir une prime dans une de ces nouvelles devises. Problème, la compagnie a fait faillite en juillet dernier, et la ligue a annoncé aux joueuses qu’elles ne toucheront pas un centime de l’argent qui dormait dans leur wallet. C’est ballot !
À voir aussi sur Konbini
Heureusement pour Megan Rapinoe, Trinity Rodman et les autres, leur salaire leur a été versé en vrai dollar américain. Une valeur sûre, bien plus que le marché des cryptomonnaies, qui a connu quelques secousses ces dernières semaines. Faute de garanties suffisantes, plusieurs plateformes qui ont voulu jouer le jeu des banques en prêtant de l’argent et en rémunérant des dépôts se sont retrouvées dans la tourmente.