On les attendait, les voici : ce mercredi 29 janvier à 10 heures, l’Académie des César a dévoilé la liste des nominations pour la 50e cérémonie des César qui se déroulera le vendredi 28 février prochain. Et sans surprise, il y a trois razzias : Le Comte de Monte-Cristo repart avec 14 nominations, là où L’Amour ouf en a 13 et Emilia Pérez, 12.
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Bonne surprise pour L’Histoire de Souleymane qui en récolte 8, comme Miséricorde, ou En fanfare qui en récolte 7. Déception en revanche pour Monsieur Aznavour qui n’en a que 4, là où La Bête n’en récupère qu’une seule, sans parler des absents, comme Leurs enfants après eux qui repart bredouille.
Meilleur film
- Emilia Pérez, de Jacques Audiard
- Le Comte de Monte-Cristo, d’Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte
- L’Histoire de Souleymane, de Boris Lojkine
- En fanfare, d’Emmanuel Courcol
- Miséricorde, d’Alain Guiraudie
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Meilleure réalisation
- Jacques Audiard, pour Emilia Pérez
- Boris Lojkine, pour L’Histoire de Souleymane
- Gilles Lellouche, pour L’Amour ouf
- Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Alain Guiraudie, pour Miséricorde
Meilleur acteur
- Pierre Niney, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Tahar Rahim, pour Monsieur Aznavour
- Karim Leklou, pour Le Roman de Jim
- Benjamin Lavernhe, pour En fanfare
- François Civil, pour L’Amour ouf
Meilleure actrice
- Zoe Saldaña, pour Emilia Pérez
- Karla Sofía Gascón, pour Emilia Pérez
- Hafsia Herzi, pour Borgo
- Adèle Exarchopoulos, pour L’Amour ouf
- Hélène Vincent, pour Quand vient l’automne
Meilleur acteur dans un second rôle
- David Ayala, pour Miséricorde
- Alain Chabat, pour L’Amour ouf
- Jacques Develay, pour Miséricorde
- Laurent Lafitte, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Bastien Bouillon, pour Le Comte de Monte-Cristo
Meilleure actrice dans un second rôle
- Élodie Bouchez, pour L’Amour ouf
- Anaïs Demoustier, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Catherine Frot, pour Miséricorde
- Nina Meurisse, pour L’Histoire de Souleymane
- Sarah Suco, pour En fanfare
Meilleure révélation masculine
- Abou Sangaré, pour L’Histoire de Souleymane
- Pierre Lottin, pour En fanfare
- Malik Frikah, pour L’Amour ouf
- Adam Bessa, pour Les Fantômes
- Félix Kysyl, pour Miséricorde
Meilleure révélation féminine
- Maïwène Barthelemy, pour Vingt Dieux
- Souheila Yacoub, pour Planète B
- Mallory Wanecque, pour L’Amour ouf
- Megan Northam, pour Rabia
- Malou Khebizi, pour Diamant brut
Meilleur premier film
- Vingt Dieux, de Louise Courvoisier
- Les Fantômes, de Jonathan Millet
- Un p’tit truc en plus, d’Artus
- Diamant brut, d’Agathe Riedinger
- Le Royaume, de Julien Colonna
Meilleur scénario original
- Stéphane Demoustier, pour Borgo
- Emmanuel Courcol et Irène Muscari, pour En fanfare
- Louise Courvoisier et Théo Abadie, pour Vingt Dieux
- Boris Lojkine et Delphine Agut, pour L’Histoire de Souleymane
- Alain Guiraudie, pour Miséricorde
Meilleur scénario adapté
- Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Jacques Audiard, pour Emilia Pérez
- Michel Hazanavicius et Jean-Claude Grumberg, pour La Plus Précieuse des marchandises
Meilleur film étranger
- The Substance, de Coralie Fargeat
- La Zone d’intérêt, de Jonathan Glazer
- The Apprentice, d’Ali Abbasi
- Anora, de Sean Baker
- Les Graines du figuier sauvage, de Mohammad Rasoulof
Meilleur film animé
- La Plus Précieuse des marchandises, de Michel Hazanavicius
- Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau, de Gints Zilbalodis
- Sauvages, de Claude Barras
Meilleur documentaire
- Dahomey, de Mati Diop
- Madame Hofmann, de Sébastien Lifshitz
- La Belle de Gaza, de Yolande Zauberman
- Bye bye Tibériade, de Lina Soualem
- Ernest Cole, photographe, de Raoul Peck
- La Ferme des Bertrand, de Gilles Perret
Meilleure musique originale
- Jon Brion, pour L’Amour ouf
- Jérôme Rebotier, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Clément Ducol et Camille, pour Emilia Pérez
- Alexandre Desplat, pour La Plus Précieuse des marchandises
- Linda Courvoisier et Charlie Courvoisier, pour Vingt Dieux
Meilleur son
- Cédric Deloche, Gwennolé Le Borgne, Jon Goc et Marc Doisne, pour L’Amour ouf
- David Rit, Gwennolé Le Borgne, Olivier Touche, Laure-Anne Darras, Marion Papinot, Marc Doisne et Samuel Delorme, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Erwan Kerzanet, Aymeric Devoldère, Cyril Holtz et Niels Barletta, pour Emilia Pérez
- Pascal Armant, Sandy Notarianni et Niels Barletta, pour En fanfare
- Marc-Olivier Brullé, Pierre Bariaud, Charlotte Butrak et Samuel Aïchoun, pour L’Histoire de Souleymane
Meilleure photo
- Laurent Tanguy, pour L’Amour ouf
- Nicolas Bolduc, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Paul Guilhaume, pour Emilia Pérez
- Tristan Galand, pour L’Histoire de Souleymane
- Claire Mathon, pour Miséricorde
Meilleur montage
- Simon Jacquet, pour L’Amour ouf
- Célia Lafitedupont, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Juliette Welfling, pour Emilia Pérez
- Guerric Catala, pour En fanfare
- Xavier Sirven, pour L’Histoire de Souleymane
Meilleurs costumes
- Isabelle Pannetier, pour L’Amour ouf
- Thierry Delettre, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Virginie Montel, pour Emilia Pérez
- Isabelle Mathieu, pour Monsieur Aznavour
- Anaïs Romand, pour Sarah Bernhardt, la divine
Meilleurs décors
- Jean-Philippe Moreaux, pour L’Amour ouf
- Stéphane Taillasson, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Emmanuelle Duplay, pour Emilia Pérez
- Stéphane Rozenbaum, pour Monsieur Aznavour
- Olivier Radot, pour Sarah Bernhardt, la divine
Meilleurs effets visuels
- Cédric Fayolle, Hugues Namur et Émilien Lazaron, pour La Bête
- Olivier Cauwet, pour Le Comte de Monte-Cristo
- Cédric Fayolle, pour Emilia Pérez
- Stéphane Dittoo, pour Monsieur Aznavour
Meilleur court-métrage d’animation
- Beurk !, de Loïc Espuche
- Gigi, de Cynthia Calvi
- Papillon, de Florence Miailhe
Meilleur court-métrage documentaire
- Les Fiancées du Sud, d’Elena López Riera
- Petit Spartacus, de Sara Ganem
- Un cœur perdu et autres rêves de Beyrouth, de Maya Abdul-Malak
Meilleur court-métrage de fiction
- Boucan, de Salomé Da Souza
- Ce qui appartient à César, de Violette Gitton
- L’Homme qui ne se taisait pas, de Nebojsa Slijepcevic
- Queen Size, d’Avril Besson
